C’est quoi le no-code / le low-code / le métier de Product Builder ?
No-Code, low-code, Product Builder : voici trois notions en plein essor dans le monde du product management. Notre experte de la vulgarisation, Mamy Nintendo, nous explique de quoi il s’agit.
Retrouve tous nos articles sur le No-code dans le produit ici. |
Le Ticket : “Salut Mamy, ça va ? Dis moi, tu pourrais m’expliquer ce que sont le no-code, le low-code et le métier de Product Builder ?”
Mamy Nintendo (concentrée sur sa partie de Super Mario) : “…Ah purée, je viens de perdre ma dernière vie…” (repose sa manette) “Mais bien sûr, mon petit. Assieds-toi, je vais t’expliquer…”
Définition du No-Code
Bon, déjà l’exercice de définir le No-Code est bien casse-gueule tellement cette notion est galvaudée et fourre-tout. Une chose à rappeler d’emblée : Le no-code… ça reste une façon de produire du code in fine ! C’est la suite, si l’on reprend l’histoire de l’informatique, d’une longue série de langages créés pour parler de plus en plus facilement aux machines.
Dit autrement, c’est une couche d’abstraction supplémentaire par rapport au code, avec une interface visuelle accessible pour que des profils non techniques puissent faire des choses qui auraient nécessité des développeurs auparavant.
Le succès du concept de no-code (pour ne pas dire le buzzword) tient à cette promesse d’universalité. Et coïncide avec celui d’outils emblématiques comme Bubble, Webflow, Airtable, Stacker, Zapier, Integromat… parmi les centaines qui existent sur le marché.
Le Low-Code pour aller plus loin dans un cadre professionnel
Dans un contexte professionnel, sous-entendu de passage à l’échelle, on privilégie toutefois le concept de low-code, qui semble plus révélateur des tâches des “Product Builders” (= les gens qui font du produit avec du no-code).
Car, même dans le no-code, comprendre les principes de la programmation reste en effet crucial en tant que PM.
Retrouve tous nos articles sur le No-code dans le produit ici. |